Chapitre 6 : Début des hostilités


Pandémonium.

Loki : Il semblerait qu'Héphaïstos ait compris que c'est moi qui lui aie volé son précieux marteau. Il est grand temps que je me dépêche. Le temps est venu pour moi de faire ce pour quoi j'ai tout mis en oeuvre depuis le début. La libération de mon deuxième fils approche. Il doit être vraiment impatient, vu que le jour où il pourra à nouveau se mouvoir sans contraintes approche. Et le marteau que j'ai subtilisé à Héphaïstos va beaucoup m'aider afin d'y parvenir.

*

* *

Etna quelques jours plus tôt.
Héphaïstos était comme à son habitude en train de forger de nouvelles armes ou armures divines. Le dieu de la fourberie apparut alors à quelques mètres du Dieu forgeron mais il usait de l'Orbe de la Négation, pouvoir qui consistait à se dissimuler aux yeux des autres tout en cachant son cosmos. Il était là, épiant le moindre geste d'Héphaïstos cherchant le moment propice pour lui arracher son précieux marteau. Ce moment arriva assez vite.

Héphaïstos : Népher, je pense avoir assez travaillé pour aujourd'hui. Je vais donc me retirer dans mes appartements pour m'y reposer. Je voudrais que tu veilles sur ma forge et sur mon marteau durant mon absence.
Népher : Oui maître. Je vais m'acquitter de cette tache. Vous pouvez dormir tranquille…
Héphaïstos : Bien...

Loki s'avança alors à pas de loup et frappa violemment le chevalier du Dragon Rouge à la nuque. Celui-ci ne put même pas se défendre. Et tranquillement, Loki entreprit de ramasser le précieux marteau et se dépêcha de s'en aller. Il avait beau être un dieu, la colère d'un Olympien était sans aucune commune mesure. Cependant, il ne put s'empêcher de lâcher comme à son habitude un rire sardonique. Le dieu des voleurs avait une nouvelle fois frappé...

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Prison de Fenris, peu de temps avant que chaque chevalier ne soit assigné à sa quête.

Tapi dans les ténèbres qui étaient sa prison depuis " un certain temps " le Dieu des loups méditait… Lui, réputé pour sa fureur légendaire, avais appris au fil du temps la méditation et le contrôle de soi, sa bestialité et férocité légendaires s'étaient tues… Tout du moins jusqu'à ce que son heure ne vienne…
Sa prison avait été créée sur ordre de Odin lui-même qui, aidé de ses fidèles hommes d'armes, avait pu contenir la puissance de Fenris. Sa prison était constituée d'antimatière. Le simple fait d'en toucher une extrémité aurait simplement suffit à déclencher un cataclysme duquel même Fenris n'aurait pu en sortir vivant. Mais chose incroyable, la toute puissance de son cosmos lui avait permis de repousser jusqu'à une certaine limite certes, les frontières originelles de la prison.
Mais cette victoire était futile, personne n'était assez puissant pour pouvoir ouvrir cette prison de l'intérieur même Odin ou Thor n'auraient rien pu faire… Mais ce que Fenris ne savait pas c'est que de l'extérieur la chose pouvait bien être différente… Encore fallait il se munir des bons outils…

***

Durant la réminiscence de son vol, Loki était finalement parvenu à l'endroit où son cher fils a été enfermé. C'était vraiment très impressionnant. La prison du dieu des loups semblait indestructible. On comptait trois barrières magnétiques correspondant aux trois laisses de Fenris pour le maintenir enfermé. Il était dit que si une seule des laisses venait à céder, le loup aurait assez de force pour se libérer par lui-même. Et c'est bien là-dessus que comptait Loki, car briser trois barrières magnétiques à lui tout seul l'aurait énormément épuisé. Loki arriva devant la prison. Il vit les trois barrières, seul obstacle à la libération de son fils. Au centre, il put apercevoir une forme humaine portant une armure qui restait là sans bouger, à attendre. L'armure de cet homme était proche de celle du guerrier divin d'Epsilon, Fenril d'Alioth. Elle avait la même couleur bleue avec quelques différences comme les avants-bras qui avaient des griffes beaucoup plus longues. Mais ce qui les différenciaient le plus était l'aspect divin de cette armure que celle de Fenril n'avait pas.

Loki : Bien ! Il est grand temps de te libérer mon fils.

Il prit le marteau et frappa un grand coup sur la première couche de protection. Celle-ci se fissura alors. Mais le coup avait fatigué Loki. En effet, contenir la puissance d'un tel marteau comme le faisait Héphaïstos était quasiment impossible. Avec regret il fut obligé de quitter la prison complètement éreinté. Il put tout de même entendre Fenris lui dire :

Fenris : Merci père. Maintenant je vais me débrouiller tout seul pour la suite.

Et il intensifia son cosmos...

*

* *

Sanctuaire, dans le temple d'Athéna, peu de temps avant.

Kiki : Vous m'avez fait demander Déesse Athéna ?
Saori : Oui Kiki. J'aimerais que tu te mettes à reconstruire des armures d'or. Vu qu'elles on toutes disparues dans les Enfers, il faut absolument en refaire d'autres. Le sanctuaire ne peut se permettre de se passer de sa plus puissante garde.
Kiki : Mais Athéna ! Je ne sais pas fabriquer les armures.
Saori : Si tu le sais. Bien que ton maître ne te l'ait jamais enseigné, cette technique ancestrale se transmet dans les gênes de ton peuple. Tu l'as en toi alors laisse s'exprimer ton cosmos et la connaissance viendra d'elle-même.
Kiki : Je veux bien essayer, mais dans le meilleur des cas, il me faudra plusieurs années pour toutes les reconstruire et surtout nous n'avons pas de Grand Pope.
Saori : Ne t'en fais pour ça. Le grand Pope n'est que le représentant d'Athéna sur Terre. Mais comme je suis réincarnée en ce moment sa présence n'est pas indispensable. De plus, je ne compte pas mourir maintenant. Donc, lorsque mon âme devra retourner sur l'Olympe il y aura bien quelques chevaliers d'or dont un pourra devenir Grand Pope.
Kiki : Oui vous avez raison, Déesse Athéna.
Et si vous le permettez, je vais m'exécuter à ma tâche dès maintenant.
Saori : Bien, je n'en attendais pas moins de toi futur chevalier d'or du Bélier.

Cette phrase fit sourire Kiki. Depuis le début des batailles, il avait toujours rêvé de devenir un chevalier protecteur d'Athéna participant à toutes les batailles. Enfin ce titre tant espéré lui était assigné. Aussitôt, il s'en alla.

Soudain, Saori eut une vision et elle comprit que quelque chose de mauvais allait arriver…

Saori : Alors, c'était ça son plan… Libérer Fenris, le tueur de Dieux afin qu'il puisse régner sur Asgard et sur l'Olympe. Bon, je n'ai pas d'autre choix que de l'en empêcher.

Et elle se téléporta...

*

* *

Après être allé chez le dieu Héphaïstos, les cinq chevaliers du zodiaque furent chacun assignés à une quête dans le but de récupérer une arme légendaire capable de détruire les titans.
Shun, lui était arrivé dans un endroit féerique et il ne comprenait pas d'ailleurs ce qu'il devait y faire.
L'endroit était tout simplement merveilleux. Il y avait des champs de fleurs qui s'étendaient à perte de vue et des papillons voletaient un peu partout ce qui donnait au lieu une connotation assez magique. En fait, le décor était assez proche visuellement d'Elysion, ce lieu mythique où seules les âmes pures avaient le droit d'accéder. Ce que Shun ne comprenait pas c'est qu'il devait trouver une arme. Mais comment trouver une arme dans un lieu où la violence semble inexistante ?

Shun : Mais qu'est-ce que ça veut dire ?? Voilà près d'une heure que je suis en train d'errer dans ce lieu et je n'ai encore rencontré personne. Que signifie donc cette mascarade ?
Voix : Je suis vraiment très heureux de pouvoir enfin te revoir Shun, chevalier divin d'Andromède.
Shun : Qui... Qui est là ? Et que voulez-vous ?
Voix : Voyons Shun. Tu sais très bien qui je suis. Nous nous sommes affrontés par le passé et à cette époque tu m'étais inférieur. Aujourd'hui, il me semble que ce soit l'inverse. De plus, si je ne me trompe pas tu as même revêtu mon armure pendant quelques instants.

À ces mots, Shun comprit tout de suite qui était son interlocuteur.

Shun : Shaka ? Shaka, c'est bien toi ? Mais que signifie... ? Et qu'est-ce que tu fais là ? Mais où sommes-nous ?

En effet, le chevalier d'or de la Vierge se tenait devant lui non pas vêtu de son armure, mais d'une toge qui devait être sa tenue de prédilection pour la méditation. De plus, comme à son habitude, il gardait les yeux fermés.

Shaka : Ne pose pas trop de questions à la fois sinon je ne pourrai pas répondre à toutes. Alors pour commencer, je pourrai te dire que nous sommes dans un travers dimensionnel complexe. Chevalier, tu te trouves actuellement dans le Paradis de la manière dont il est défini par Bouddha. Comme un lieu dénué de violence dont une seule mauvaise pensée pourrait t'en faire partir. C'est pourquoi, pour pouvoir accéder à ce lieu, il faut posséder une âme très pure, exactement comme la tienne…

Shun : Oui, bien sûr je comprends tout ça mais ça ne m'explique toujours pas ce que je fais ici…
Shaka : Comme tu le sais, Héphaïstos t'a envoyé toi et tes frères dans divers endroits afin de trouver des armes d'une puissance phénoménale mais aussi dans le but que vous trouviez une nouvelle attaque. Et c'est justement sur moi que ce rôle échoue.
Shun : Toi ? Mais pourquoi toi ??? Je ne comprends pas !

Shaka : C'est tout à fait normal Shun mais ne t'inquiète pas, la connaissance viendra en même temps que la sagesse…
Tu n'es pas sans savoir que je suis la réincarnation de Bouddha. Or, Bouddha à la différence des Olympiens comme Athéna ou Poséidon ne peut pas se permettre d'être absent pendant deux ou trois siècles. En effet, les hommes sont par nature vils et fourbes. C'est pourquoi, il leur faut absolument un guide spirituel qui pourra leur enseigner la voix de la sérénité. Certes, Bouddha est tout à fait conscient que tous les hommes ne suivront pas son enseignement mais il sait que tant que des hommes suivront sa voie, cela voudra dire que l'humanité mérite d'être épargnée.
De plus, comme tu le sais, je suis désormais mort et donc l'influence que j'avais sur mes disciples est en train de s'estomper progressivement. Ils commencent déjà à croire de moins en moins en moi et cela pourrait avoir des conséquences néfastes.

Shun : D'accord, mais qu'attends-tu de moi ?
Shaka : Allons Andromède. Ne me dis pas que tu n'as toujours pas compris ce que j'avais en tête. Je voudrais que tu sois le nouveau successeur de Bouddha. Il ne doit pas être absent durant une période trop longue. Par exemple, durant la première moitié du vingtième siècle, n'ayant pu trouver personne pour se réincarner, tu as vu toutes les catastrophes qui sont survenues : deux Guerres Mondiales qui ont fait des millions de morts et dans quel but ??? Accroître son territoire !!
Honnêtement, ne trouves-tu pas cela pathétique ?

Shun : Si bien sûr. Qui ne serait pas affligé devant de tels propos ?
Cependant, je ne sais pas si je dois accepter ton offre. Je suis sûr qu'il doit exister d'autres personnes sur cette terre qui soient aussi dignes que moi de devenir la réincarnation de Bouddha, si ce n'est plus…

Shaka : Tu te trompes Chevalier ! Il ne suffit pas d'avoir fait le bien toute sa vie pour être sûr d'être un homme bon. Le meilleur exemple en est d'ailleurs mon défunt frère d'armes Saga… Shun, depuis ta naissance tu es le seul sur cette terre qui ait conservé le cœur pur. Malgré la hargne de tes ennemis à te tuer, tu leur as toujours laissé le choix de vivre, ne tuant que par pure nécessité. Et c'est justement ce qui te si rend digne d'accéder à la sagesse du Bouddha. De plus, si tu acceptes de fusionner ton âme avec la mienne, ta quête sera finie.

Shun : Finie ? Mais finie dans quel sens ? Le dieu forgeron Héphaïstos m'a dit que moi et mes frères devions trouver chacun une arme légendaire avec de combattre nos plus puissants ennemis. Ce que tu me dis n'a pas de sens !

Shaka : Au contraire Shun. Ce sont tes mots qui n'ont pas de sens. Depuis le début des batailles, tu es le seul qui se batte avec des armes qui sont d'une puissance phénoménale. Maintenant tu es un chevalier divin, alors je te laisse imaginer la force de tes chaînes à présent.
Shun : Désolé de te décevoir Shaka mais j'ai affronté un titan il n'y a pas longtemps avec mes frères et nos attaques combinées dont ma chaîne ne lui ont rien fait.

Shaka : C'est toi qui te trompe Shun, ton arme divine est l'une des plus puissantes. C'est juste que ton âme est trop restreinte pour pouvoir utiliser toutes ses ressources. La seule façon pour toi est de fusionner avec mon âme. Alors acceptes-tu ?

Shun : C'est entendu Shaka. Tu m'as convaincu. J'accepte de reprendre ton rôle
Shaka : Merci Shun... Désormais, je pourrai rejoindre mes frères d'armes pour protéger Athéna…

Aussitôt, l'âme de Shaka vint se fondre dans celle de Shun qui fut aussitôt empli d'une sérénité dont il ne prit pas conscience immédiatement. Cependant, la nouvelle réincarnation de Bouddha sentit monter en lui une nouvelle force. Il se sentait capable de maîtriser les dimensions.
En effet, Ikki lui avait rapporté son combat avec Shaka durant la grande bataille du Sanctuaire. Il avait cru s'enfuir à des milliers d'années lumière de la Terre alors qu'en fait, il n'était même pas sorti de la paume de la main de Boucha. Ce qui veut dire que Shaka pouvait maîtriser les dimensions mais d'une manière différente de celle de Saga ou de Canon.

Shun comprit alors que désormais ses précieuses chaînes n'attaqueraient plus de manière conventionnelle mais que leur force serait tout autre…
Après avoir mesuré l'ampleur de ses nouveaux pouvoirs, il se rappela les paroles d'Héphaïstos disant à lui et à ses frères que pour revenir dans leur monde, il leur faudrait à tous avoir fini leurs quêtes respectives.

Shun : Seiya, Ikki, Hyoga, Shiryu ! Je vous en prie finissez vite votre quête car les dernières paroles de Shaka ne présagent rien de bon pour Athéna…

Et en attendant que ses amis aient fini ce qu'ils avaient à faire, il se mit à méditer dans la position du lotus…

*

* *

Prison de Fenris.
Athéna avait à peine quitté le sanctuaire qu'elle se trouvait instantanément devant la prison de Fenris. La téléportation a de quoi être surprenant pensa-t-elle. Mais bon l'heure n'était plus à la réflexion mais à l'action comme le dit si bien le vieil adage.

Athéna : Fenris ! Enfin nous nous rencontrons. On dit que tu es un tueur de dieux et franchement quand je te vois ainsi à remuer comme un lion en cage avec un cosmos aussi puissant, je me dis que ta réputation n'est toujours pas usurpée.
Fenris : Eh oui comme tu peux le voir ma chère Athéna. Je suis toujours dans ma prison mais ce n'est plus qu'une question de temps avant que je ne sois dehors. Vois-tu la fissure que mon père a faite dans ma prison va bientôt s'élargir et je pourrais enfin sortir après des milliers d'années de captivité.

Athéna : Non Fenris ! Je te jure que tu ne sortiras jamais de ta prison. Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour t'empêcher d'arriver à tes fins.
Fenris : Tout ce qui est en ton pouvoir ?? Mais ma pauvre laisse-moi rire... Vois-tu, j'ai en moi assez de puissance pour abattre en quelques minutes des Dieux comme Thor ou Odin. Alors ne crois pas qu'une fillette comme toi pourra arriver à quelque chose devant ma cosmo-énergie. Ne sois pas stupide voyons. Je te promets que si tu ne t'interposes dans mon processus de libération, je te tuerai sans te faire souffrir.

Athéna : Dieu des Loups, sache que je n'ai rien à faire de ta compassion et sache aussi que s'il me faut mourir, je suis prête. Ma vie ne m'appartient plus, elle appartient à tous les habitants de la Terre qui ont besoin de moi.

Fenris : Espèce d'idiote ! Avec ta pauvre force la seule chose que tu pourras faire sera de retarder ma libération. Mais quoi qu'il arrive, celle-ci sera inéluctable. Mais j'ai envie de te voir espérer. Alors je vais te donner la seule chose qui puisse réparer définitivement ce que mon père a fait. Voilà, sur les armures des Titans que mon père a " empruntées ", se trouve sur chacune un cristal. Il faut que tu puisses ramener les sept devant ma prison mais c'est chose impossible.

Athéna : Je comprends maintenant… Mais tu as fait une grave erreur ! Mes chevaliers sont toujours présents et je sais qu'ils seront toujours là pour me sauver quoi qu'il arrive !!

Aussitôt, elle intensifia son cosmos à son paroxysme pour empêcher que Fenris ne sorte trop rapidement… C'est à ce moment là que plusieurs ombres apparurent, formant un cercle autour d'elle. Celles-ci correspondaient aux Chevaliers d'Or. Par delà la mort, ils sont restés fidèles à leur déesse et ont décidé de lui venir en aide pour son ultime bataille. Ils étaient tous là, même ceux qui autrefois avaient voulu la tuer et qui désormais avaient pour seul but de la protéger de celui que l'on appelait le tueur de Dieux. Leurs ombres étaient néanmoins vêtues de leurs armures respectives et regardaient la scène silencieusement, prêts à prêter leur cosmo-énergie à Athéna à tout moment : il y avait Mû du Bélier, Aldébaran du Taureau, Saga des Gémeaux, Masque de Mort du Cancer, Aiola du Lion, Shaka de la Vierge, Dohko de la Balance, Milo du scorpion, Aioros du Sagittaire, Shura du Capricorne, Camus du Verseau, et Aphrodite des Poissons.
Bien entendu Fenris ne s'était pas rendu compte de leur présence. Seul l'amour que porte Athéna aux hommes a permis un pareil miracle.

Athéna : Merci chevaliers… Grâce à l'aide que vous fournirez, je pourrai tenir un peu plus longtemps
Fenris : Ah !Ah !Ah ! Pauvre petite imbécile. Tu vas te sacrifier inutilement. Rien de ce tu feras ne pourra empêcher ma libération. Vu la petitesse de ta cosmo-énergie, tu ne tiendras pas plus de douze heures avant que mon cosmos ne t'écrase totalement.

Douze heures… Ces mots résonnèrent de nombreuses fois à l'oreille d'Athéna tant ce chiffre était devenu symbolique à elle et à ses chevaliers.
Athéna, intérieurement : Seiya, Shun, Shiryu, Hyoga, Ikki je vous en prie… Revenez à temps pour que je puisse vous expliquer la situation mais surtout, revenez vivants… …

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Cette fiction est copyright Gilles Sery et Imran Akhoun.
Les personnages de Saint Seiya sont copyright Masami Kurumada.