Chapitre 1 : Le fourreau du Taureau


Saori et ses pions sont dans l’avion. Ils se préparent à la bataille...

Seyar : Valet !
Hyoga : Dame !
Shun : Roi !
Saori : As ! J’ai encore gagné !
Seyar : Flûte !

Saori va trouver le pilote.

Saori : Pourquoi on traîne autant ?
Pilote : Vous ne voyez pas toute cette circulation ?
Saori : Où ça ?
Pilote : Mais devant nous ! Les mouettes !
Saori : Mais doublez-les !
Pilote : Je peux pas ! Vous ne voyez pas que devant, il y a un panneau avec un avion rouge à gauche d’un avion noir ?
Saori : C’est une interdiction de doubler ?
Pilote : Mais non ! Comme mon avion n’est pas rouge, je dois rester dans la file de droite !
Saori : Quelle malchance !
Pilote : Et tant que vous êtes là, j’aimerais être payé car je suis en train de faire des heures supp !
Saori : C’est hors de question !
Pilote : D’accord...

Il se lève, enfile un parachute et saute dans le vide.

Pilote : C’était le seul parachute ! Bonne chance quand même !

Saori parvient à garder son sang froid.

Saori, affolée : Au secours ! Au secours !
Hyoga : Qu’est ce qui se passe ?
Saori : On n’a plus de pilote ! ! !
Shun : Ah ? Et c’est grave ?
Saori : Bien sûr ! Vous avez un permis de pilote, vous ? !
Seyar : Non...
Saori : Moi non plus ! Si la police nous arrête, on ira tous en prison !
Hyoga : Qui a déjà piloté un avion ?
Shun, joyeux : Moi ! Moi ! Moi !
Seyar, surpris : C’est vrai ? !
Shun : Oui ! Laissez-moi faire !

Shun s’assoit à la place du pilote. Au même moment, une soucoupe volante de la police s’arrête à côté de l’avion.

Saori, désespérée : Nous sommes perdu ! ! !
Hyoga : Tais-toi !
Policier : Eh le pilote !
Shun, en sueur : Oui ?
Saori, terrifiée : Pas la prison ! ! ! Pas la prison ! ! !
Seyar : Mais boucle-la !
Policier : Oui, bouclez vos ceintures ! La prochaine fois, je sévirai !
Shun : C’est tout ?
Policier : Ben oui !
Shun : Vous voyez les amis, on peut voler sans permis !

Saori s’évanouit.

Policier : Pardon ? !
Hyoga, suant des glaçons : Il disait : "je la mets pour voler c’est promis !".

Saori reprend lentement conscience.

Saori : Il est parti, le poulet ?
Seyar, tout rouge : Hum ! Hum ! ! !
Policier : Comment ? ! Vous avez un poulet à bord ?
Hyoga : Euh... Oui ! C’est le copilote !
Policier : Ah d’accord... Bon, bonne route !

Et il s’en va.

Seyar : Ouf...
Saori : Shun ! Il faut vite arriver à destination ! Tire le frein à main !
Shun : Le quoi ? !

Saori le fait pour lui et l’avion commence à tomber. Ils crient tous, sauf Shun.

Shun : Ne vous en faites pas, j’ai la situation en main !

Pendant ce temps, quelqu’un entre tout essoufflé chez le Grand Pope.

Pope : Ah, te voilà enfin, Trémi !
Trémi : C’est fatigant de monter les escaliers !
Pope : Pour redescendre, je t’indiquerai le passage secret. Je vais t’expliquer ta mission...

Cinq minutes plus tard, le Pope entend un bruit et regarde par la fenêtre.

Pope : Sapristi, les voilà déjà ! Vite, tu dois les intercepter comme prévu !
Trémi : Où il est ce passage secret ?

Le Pope réfléchit. Il faut que Trémi soit en bas dans moins d’une minute ! Donc...

Pope : D’accord, tourne-toi !
Trémi : Voilà...

PAF ! Le Pope vient de lui donner un coup de pied au derrière et Trémi tombe dans le vide.

Trémi, hurlant : Aaaaaaaaaah ! ! !

BOUM ! L’avantage est qu’il arrive au pied du Sanctuaire en un temps record !

Trémi, gémissant : Mes fesses, elles saignent ! ! ! Aïe ! ! !

Le Pope peut aller se baigner. Il remarque soudain...

Pope : Tiens, j’avais mis mes pantoufles-hérisson !

Trémi a le temps de se mettre des pansements juste avant l’arrivée des chevaliers et de leur soi-disant déesse. Saori sort de l’épave de l’avion.

Saori : Shun ? ! Je croyais que tu savais piloter !
Shun : C’est pas ma faute ! Cet avion se comporte différemment de ceux du manège !
Hyoga : C’est un miracle qu’on soit tous indemnes.
Voix : Vous voilà enfin !
Seyar : Cette voix... C’est Shiryu !

Shiryu est sur un haut rocher et perd l’équilibre. BAM ! Il tombe sur Seyar.

Seyar : Maladroit !
Shiryu : Désolé, mais je suis toujours aveugle ! Même avec l’eau que tu m’as fait livrer.
Seyar : Ah oui, l’eau sucrée...
Shiryu : Non, l’eau SACREE !
Seyar : Mais non ! On m’a dit de te porter de l’eau sucrée, alors j’ai rempli une bouteille avec de l’eau, non potable bien sûr, et puis j’ai rajouté du sucre dedans !

Shiryu est sur le point d’étrangler Seyar, mais...

Saori : Le Pope a bien reçu ma lettre, il envoie un majordome pour nous accueillir !
Seyar : T’as écrit au Pope ? !
Hyoga : Mais t’es folle ! Il a eu tout le temps de nous tendre un piège !
Saori : Mais non voyons ! Ce monsieur va nous conduire gentiment chez son maître !
Shun : Ce monsieur, c’est un chevalier !

Trémi a oublié de se couvrir avec une cape !

Trémi : Zut, je suis déjà démasqué ! Tant pis pour vous !

Il les attaque avec ses flèches fantômes.

Shiryu : Ce sont des illusions !
Seyar : Il est nul ! Par la Patte de Pégase !
Trémi : Aaaaargh ! ! !

Trémi s’écroule, l’armure en miettes.

Trémi : J’ai accompli ma mission, j’ai touché Saori !

Les chevaliers se retournent et voient une flèche dans la poitrine de Saori ! Cette dernière pleure.

Saori : Bouh ouh ouh ! ! ! Il m’a fait bobo ! ! ! Ouin ! ! !
Trémi : Si vous voulez la sauver, ramenez le Pope ici en moins de douze heures, lui seul peut retirer la flèche !
Hyoga : Avant que tu meures, dis-nous où est le passage secret, on gagnera du temps !
Trémi : Jamais !
Shun : Obéis ou j’appelle mon frère !
Trémi : Regardez mes fesses ! J’ai emprunté le passage secret et voilà...
Shiryu : Balivernes ! Indique-nous ce passage sinon Saori fera du cheval sur toi !

Non, finir sa vie comme ça est vraiment horrible, il doit trouver une astuce !

Trémi : D’accord. Vous voyez les escaliers ? C’est ça le passage secret ! Arrêtez-vous dans chaque maison, hein !

Les chevaliers revêtissent leurs armures et se mettent en route. Ils courent vers la première maison du zodiaque, celle du Bélier.

Shun : Mais on ne court pas ! On n’a pas envie de se fatiguer !
Seyar : Et on veut aussi profiter du soleil !
Shiryu : Et comme dirait mon grand Maître : "Rien de sert de mourir, il faut rôtir à point !". Enfin, c’est presque ça !
Hyoga : Et puis on a plein de temps ! Comme il ne nous faudra pas plus de cinq minutes pour battre chaque chevalier d’Or...
Shun : ... On a encore 55 minutes pour grimper les marches !

Près de Saori, Trémi agonise.

Trémi : J’ai accompli mon devoir... Mais !

Avec étonnement, il regarde la flèche qu’il avait lancée.

Trémi : Mais c’est pas la bonne flèche, je me suis trompé !
Saori, heureuse : Youpi ! ! ! Je suis hors de danger ! ! !
Trémi : C’est la flèche qui fait tomber tous les cheveux au bout d’une demi-journée !
Saori, affolée : Oh non arrête, tu plaisantes j’espère ? !
Trémi : Hélas, non...
Saori : Vilain ! Pour me venger, je vais faire du cheval sur toi jusqu’à ce que tu succombes à tes blessures !

Trémi commence à pleurer de désespoir ; il avait fait semblant d’agoniser pour qu’on le laisse tranquille. Maintenant, de longues heures de torture l’attendent. D’autant plus que Saori a pris sa cravache !

Saori : Allez, en selle !
Trémi : Pitié ! ! !

Une demi-heure plus tard, les chevaliers de Bronze sont arrivés, en marchant, devant la demeure de Mu.

Narrateur : Mais où il est, Mu ? Mu ! ! !
Mu : Ca commence mal ! Voilà que je me fais engueuler par le narrateur !
Kiki : Vite, maître !
Mu : Mais où est ma peinture rouge ? Et mon ketchup ? Et mon rouge à lèvres ? Mais où est-ce que j’ai téléporté tout ça la dernière fois ?
Kiki : Collez-vous ces deux confettis sur le front, ça suffira !

Mu le fait et arrive enfin devant le seuil de sa maison.

Mu : Où vous allez comme ça, les petits ?
Seyar : Voir le Grand Poulpe !
Shiryu : Il faut qu’il sauve Saori !
Hyoga : Enfin... Athéna. Car c’est elle ! C’est ça, non ?
Shun : Vous n’avez pas vu mon frère ?
Mu : Regardez-moi ces armures ! On voit que vous n’en prenez pas soin ! Confiez-les moi pour que je les répare !
Shiryu : Mais non ! Regarde mon bouclier, symbole de la solidité même...

Mu souffle dessus et... CRAAAAAC ! ! !

Shiryu, en pleurs : Mon beau petit bouclier ! ! !

Après avoir retiré leurs armures, les chevaliers de Bronze se dirigent vers les toilettes de la maison du Bélier. Par une petite fenêtre, ils aperçoivent la grande horloge.

Shun : C’est de cela que voulait parler Ikki... Euh non, Trémi !
Hyoga : Alors, Shiryu, t’as pas encore fini ? !
Seyar : J’ai une envie pressante moi aussi !
Shiryu : Je cherche la sortie mais je ne la trouve pas !

Seyar tente d’ouvrir la porte mais elle est fermée de l’intérieur.

Shiryu : Attendez, je prends du papier de toilette, ça me servira de fil d’Ariane pour ne pas me perdre !

Et dix minutes plus tard, Shiryu trouve enfin la sortie. Il ressort enroulé dans du papier de toilette ! Après avoir fait leurs besoins, ils décident d’aller voir où en est Mu. Et là ils le découvrent en train de dormir ! Ils le secouent et Mu se réveille. Mais en le secouant, ils ont détaché un des deux points que Mu avait sur le front.

Hyoga : C’est un faux Mu !
Shun : Oui, celui-là n’a qu’un point sur le front !

Seyar ramasse le point qui était tombé.

Seyar : Mais... C’est un confetti !
Shiryu : Mu ! Tu vas nous dire où est Mu !
Mu : Mais je suis Mu ! La preuve : j’ai réparé vos armures avec ma colle forte et mon papier collant !
Seyar : Alors, c’est quoi ce confetti ? !
Mu : Vous êtes arrivé en avance tout à l’heure, alors j’ai pas eu le temps de me mettre deux points de rouge à lèvres sur le front !
Hyoga : Du rouge à lèvres ? !
Mu : Oui... Mes deux points se sont effacés quand j’ai pris mon bain annuel... Mais pourquoi vous ne venez que maintenant ? Je vous ai appelé il y a une demi-heure car j’avais fini les réparations !
Shiryu : J’ai rien entendu...
Mu : Qu’est ce que j’y peux, si vous êtes bouchés. En attendant, j’ai piqué un petit somme.
Shun : On n’est pas BOUCHERS, on est CHEVALIERS !

La flamme du Bélier vient de s’éteindre.

Seyar : Allez, en route les gars ! On doit rattraper le temps perdu !
Mu : Attendez, il faut que je vous parle du septième sens...
Hyoga : On s’en fout ! Tu nous as fait perdre assez de temps !

Et les voilà parti vers la deuxième maison, en marchant. Et après une éternité, ils arrivent enfin devant la maison du Taureau. Aldébaran les accueille à leur arrivée.

Aldébaran : Salut, je m’appelle Aldébaran...
Hyoga : On sait, le narrateur vient de le dire !
Aldébaran : Rendez-vous, ou je vais devoir être vache !
Shun : Je croyais que c’était le chevalier du Taureau ici, et pas celui de la Vache !
Seyar : Dis donc, j’ai déjà rencontré des adversaires plus grands et plus terribles que toi. Alors, prépare-toi à perdre !
Aldébaran : Non, c’est moi le plus grand !
Seyar : Sûrement pas ! Cassios et Docrate étaient plus grands que toi !
Aldébaran : Mais eux ils sont morts, et pas moi. Alors c’est moi le plus grand, na !

Tout à coup, un géant entre dans la pièce.

Cassios : Je ne suis pas encore mort !
Aldébaran : Hors d’ici ou sinon je te tire les oreilles !
Cassios : J’ai pas peur !
Aldébaran : Dis, tu ne chercherais pas ton oreille manquante par hasard ?
Casios : Si. Tu l’as vue ?
Aldébaran : Oui, elle est au pôle sud !
Cassios : J’y cours ! Oreille, ne bouge pas, papa arrive ! ! !

Il sort mais un autre géant se montre.

Géant : Je suis plus grand que toi, moi ! Je m’appelle Toll et je suis Guerrier Divin !
Aldébaran : Toi, retourne sur ta banquise avant que je ne me fâche !

Toll lève sa hache pour frapper quand il remarque une affiche dans la maison du Taureau : ‘pull en laine de mouton taille XXXXXXXXXXL en solde dans la maison du Bélier’.

Toll : Vite ! ! !

Et il s’en va à la vitesse de la lumière.

Aldébaran : Vous avez vu ça ? ! Il s’est enfui, il a eu peur de moi ! Je suis une vraie terreur ! Alors, qui veut se mesurer à moi ?
Seyar : T’es trop grand, on n’a pas besoin de mesurer. Mais en combat, je suis le meilleur ! En garde !
Les autres Bronzes : Et nous ? On en a marre que tu sois toujours le personnage principal !
Seyar : Reposez-vous. Je vous réveillerai quand j’en aurai fini avec ce nain !
Aldébaran : Moi, un nain ? ! Comment oses-tu me comparer au chevalier de la Balance ! ?
Shiryu : Et toi, tu oses insulter mon maître ! ?
Aldébaran : Ton MAITRE, il ne fait même pas un METRE de haut !
Shiryu : Quel manque de respect ! Où es-tu, que je te corrige tout de suite !

En marchant, Shiryu se prend une colonne du temple et tombe assommé.

Hyoga : N’oublie pas de nous réveiller quand tu auras gagné !
Seyar : Comptez sur moi !
Shun : Mais on parlait à Aldébaran !
Seyar : C’est sympa de m’encourager !
Aldébaran : Alors, tu te décides à attaquer ou pas ?
Seyar : Tu l’auras voulu, toi. Par le Bisou de Pégase !
Aldébaran : Arrête, ça chatouille !
Seyar : Mais il se moque de moi ! Par le Bisou de Pégase !
Aldébaran : Je vais te montrer une VRAIE attaque... Par la Corne du Taureau !

BAAAAAM ! ! ! Seyar vole à travers plusieurs murs et s’écrase par terre.

Seyar : Ouh que j’ai mâââââl...
Aldébaran : Encore vivant ? Tant pis pour toi ! Cette dalle sera ta tombe !

Aldébaran lève son pied...

Seyar, paniqué : Au secours ! ! !

CRAAAAAC ! Le chevalier du Taureau enterre Seyar dans le sol.

Seyar : Suis-je mort ? Athéna !
Saori : Attends un peu, je termine de faire du cheval sur Trémi !
Marine : Debout Seyar ! Souviens-toi du Sabre du Samouraï ! La Corne du Taureau, c’est pareil !
Seyar : Mais oui ! Une fois que le sabre est sorti de son fourreau, il est mort !

Le chevalier Pégase ressort du sol devant un Aldébaran surpris.

Seyar : Marine m’a appris comment te vaincre !
Aldébaran : Tu crois ça ? ! Essaie donc !
Seyar : Dès que la Corne du Taureau sort de son fourreau, elle est morte !
Aldébaran : On va voir... Par la Corne du Taureau !

Seyar observe chacun des mouvements d’Aldébaran.

Seyar : Dès que sa corne sort de son fourreau, je le tiens !

Seyar continue à observer et... PAAAAAF ! ! ! Il repasse par plusieurs murs.

Seyar, assommé : J’ai pas vu sa corne sortir de son fourreau !
Aldébaran : Imbécile ! J’ai pas de fourreau !
Seyar : Mais c’est de la triche ! ! ! Pas de fourreau donc pas de point faible ! Je suis foutu !
Marine : Oh, mais quel nul ce Seyar !
Aldébaran : Marine ? ! Que fais-tu là ?
Marine : Je vais faire une démonstration pour cet idiot !
Aldébaran : Ah oui ? ! Par la Corne du Taureau !

Soudain, Marine disparaît.

Aldébaran : Mais... Mais où est-elle ?
Seyar : Derrière toi !

CLAC ! D’un coup, elle tranche une corne du casque du Taureau.

Aldébaran, affolé : Maman ! ! !
Marine : T’as compris, Seyar ?
Seyar : Pas tout à fait. Il est où son fourreau ?
Marine, énervée : Crétin ! ! !

Elle disparaît.

Seyar : Marine, reviens ! Sinon je suis mort !
Marine : Zut !
Seyar, suppliant : Marine ! Donne au moins un fourreau à Aldébaran pour qu’il ait une chance de perdre !
Marine : D’accord.

Elle donne un fourreau au chevalier du Taureau.

Aldébaran : Mais c’est débile !
Marine : Toi porte ce fourreau ou bien je te coupe l’autre corne !

Aldébaran obéit. Seyar a retrouvé le sourire.

Seyar : Maintenant, tu es à ma merci !
Aldébaran : Par la Corne du Taureau !
Seyar : Ca y est, sa corne est sortie de son fourreau, je vais gagner ! Par le Bisou de Pégase ! ! !

Soudain, Aldébaran va s’écraser contre une colonne et son casque se brise en deux ! Il est vaincu !

Seyar : Ouah, quelle puissance que j’ai ! Je vais pouvoir battre tous les autres chevaliers d’Or facilement !

Soudain, un homme avec une armure blanche s’approche.

Seyar : D’où tu sors, toi ?
Bud : Je suis Bud, le jumeau du guerrier Divin Syd. Et j’étais venu l’aider à battre Aldébaran. Quand j’ai vu Toll, j’ai cru que j’étais en retard, alors je suis intervenu.
Seyar : Andouille, tu t’es trompé d’acte ! Lis le script !
Bud : Ah oui tiens... Bon, je m’éclipse en vitesse.

Après son départ, Seyar soupire.

Seyar : Comme si j’avais besoin d’aide pour battre un petit chevalier d’Or ! J’allais l’achever quand ce zouave est intervenu !

Il va réveiller les autres.

Seyar : Debout ! On a encore dix autres maisons à traverser !
Shiryu : T’as battu Aldébaran ? !
Seyar, fier : Evidemment que j’ai gagné ! Bon, je vais m’occuper du prochain pendant que vous vous réveillez.

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Cette fiction est copyright Christophe Hisette.
Les personnages de Saint Seiya sont copyright Masami Kurumada.