Saori et ses pions sont dans l’avion. Ils se préparent à la bataille... Seyar : Valet ! Hyoga : Dame ! Shun : Roi ! Saori : As ! J’ai encore gagné ! Seyar : Flûte ! Saori va trouver le pilote. Saori : Pourquoi on traîne autant ? Pilote : Vous ne voyez pas toute cette circulation ? Saori : Où ça ? Pilote : Mais devant nous ! Les mouettes ! Saori : Mais doublez-les ! Pilote : Je peux pas ! Vous ne voyez pas que devant, il y a un panneau avec un avion rouge à gauche d’un avion noir ? Saori : C’est une interdiction de doubler ? Pilote : Mais non ! Comme mon avion n’est pas rouge, je dois rester dans la file de droite ! Saori : Quelle malchance ! Pilote : Et tant que vous êtes là, j’aimerais être payé car je suis en train de faire des heures supp ! Saori : C’est hors de question ! Pilote : D’accord... Il se lève, enfile un parachute et saute dans le vide. Pilote : C’était le seul parachute ! Bonne chance quand même ! Saori parvient à garder son sang froid. Saori, affolée : Au secours ! Au secours ! Hyoga : Qu’est ce qui se passe ? Saori : On n’a plus de pilote ! ! ! Shun : Ah ? Et c’est grave ? Saori : Bien sûr ! Vous avez un permis de pilote, vous ? ! Seyar : Non... Saori : Moi non plus ! Si la police nous arrête, on ira tous en prison ! Hyoga : Qui a déjà piloté un avion ? Shun, joyeux : Moi ! Moi ! Moi ! Seyar, surpris : C’est vrai ? ! Shun : Oui ! Laissez-moi faire ! Shun s’assoit à la place du pilote. Au même moment, une soucoupe volante de la police s’arrête à côté de l’avion. Saori, désespérée : Nous sommes perdu ! ! ! Hyoga : Tais-toi ! Policier : Eh le pilote ! Shun, en sueur : Oui ? Saori, terrifiée : Pas la prison ! ! ! Pas la prison ! ! ! Seyar : Mais boucle-la ! Policier : Oui, bouclez vos ceintures ! La prochaine fois, je sévirai ! Shun : C’est tout ? Policier : Ben oui ! Shun : Vous voyez les amis, on peut voler sans permis ! Saori s’évanouit. Policier : Pardon ? ! Hyoga, suant des glaçons : Il disait : "je la mets pour voler c’est promis !". Saori reprend lentement conscience. Saori : Il est parti, le poulet ? Seyar, tout rouge : Hum ! Hum ! ! ! Policier : Comment ? ! Vous avez un poulet à bord ? Hyoga : Euh... Oui ! C’est le copilote ! Policier : Ah d’accord... Bon, bonne route ! Et il s’en va. Seyar : Ouf... Saori : Shun ! Il faut vite arriver à destination ! Tire le frein à main ! Shun : Le quoi ? ! Saori le fait pour lui et l’avion commence à tomber. Ils crient tous, sauf Shun. Shun : Ne vous en faites pas, j’ai la situation en main ! Pendant ce temps, quelqu’un entre tout essoufflé chez le Grand Pope. Pope : Ah, te voilà enfin, Trémi ! Trémi : C’est fatigant de monter les escaliers ! Pope : Pour redescendre, je t’indiquerai le passage secret. Je vais t’expliquer ta mission... Cinq minutes plus tard, le Pope entend un bruit et regarde par la fenêtre. Pope : Sapristi, les voilà déjà ! Vite, tu dois les intercepter comme prévu ! Trémi : Où il est ce passage secret ? Le Pope réfléchit. Il faut que Trémi soit en bas dans moins d’une minute ! Donc... Pope : D’accord, tourne-toi ! Trémi : Voilà... PAF ! Le Pope vient de lui donner un coup de pied au derrière et Trémi tombe dans le vide. Trémi, hurlant : Aaaaaaaaaah ! ! ! BOUM ! L’avantage est qu’il arrive au pied du Sanctuaire en un temps record ! Trémi, gémissant : Mes fesses, elles saignent ! ! ! Aïe ! ! ! Le Pope peut aller se baigner. Il remarque soudain... Pope : Tiens, j’avais mis mes pantoufles-hérisson ! Trémi a le temps de se mettre des pansements juste avant l’arrivée des chevaliers et de leur soi-disant déesse. Saori sort de l’épave de l’avion. Saori : Shun ? ! Je croyais que tu savais piloter ! Shun : C’est pas ma faute ! Cet avion se comporte différemment de ceux du manège ! Hyoga : C’est un miracle qu’on soit tous indemnes. Voix : Vous voilà enfin ! Seyar : Cette voix... C’est Shiryu ! Shiryu est sur un haut rocher et perd l’équilibre. BAM ! Il tombe sur Seyar. Seyar : Maladroit ! Shiryu : Désolé, mais je suis toujours aveugle ! Même avec l’eau que tu m’as fait livrer. Seyar : Ah oui, l’eau sucrée... Shiryu : Non, l’eau SACREE ! Seyar : Mais non ! On m’a dit de te porter de l’eau sucrée, alors j’ai rempli une bouteille avec de l’eau, non potable bien sûr, et puis j’ai rajouté du sucre dedans ! Shiryu est sur le point d’étrangler Seyar, mais... Saori : Le Pope a bien reçu ma lettre, il envoie un majordome pour nous accueillir ! Seyar : T’as écrit au Pope ? ! Hyoga : Mais t’es folle ! Il a eu tout le temps de nous tendre un piège ! Saori : Mais non voyons ! Ce monsieur va nous conduire gentiment chez son maître ! Shun : Ce monsieur, c’est un chevalier ! Trémi a oublié de se couvrir avec une cape ! Trémi : Zut, je suis déjà démasqué ! Tant pis pour vous ! Il les attaque avec ses flèches fantômes. Shiryu : Ce sont des illusions ! Seyar : Il est nul ! Par la Patte de Pégase ! Trémi : Aaaaargh ! ! ! Trémi s’écroule, l’armure en miettes. Trémi : J’ai accompli ma mission, j’ai touché Saori ! Les chevaliers se retournent et voient une flèche dans la poitrine de Saori ! Cette dernière pleure. Saori : Bouh ouh ouh ! ! ! Il m’a fait bobo ! ! ! Ouin ! ! ! Trémi : Si vous voulez la sauver, ramenez le Pope ici en moins de douze heures, lui seul peut retirer la flèche ! Hyoga : Avant que tu meures, dis-nous où est le passage secret, on gagnera du temps ! Trémi : Jamais ! Shun : Obéis ou j’appelle mon frère ! Trémi : Regardez mes fesses ! J’ai emprunté le passage secret et voilà... Shiryu : Balivernes ! Indique-nous ce passage sinon Saori fera du cheval sur toi ! Non, finir sa vie comme ça est vraiment horrible, il doit trouver une astuce ! Trémi : D’accord. Vous voyez les escaliers ? C’est ça le passage secret ! Arrêtez-vous dans chaque maison, hein ! Les chevaliers revêtissent leurs armures et se mettent en route. Ils courent vers la première maison du zodiaque, celle du Bélier. Shun : Mais on ne court pas ! On n’a pas envie de se fatiguer ! Seyar : Et on veut aussi profiter du soleil ! Shiryu : Et comme dirait mon grand Maître : "Rien de sert de mourir, il faut rôtir à point !". Enfin, c’est presque ça ! Hyoga : Et puis on a plein de temps ! Comme il ne nous faudra pas plus de cinq minutes pour battre chaque chevalier d’Or... Shun : ... On a encore 55 minutes pour grimper les marches ! Près de Saori, Trémi agonise. Trémi : J’ai accompli mon devoir... Mais ! Avec étonnement, il regarde la flèche qu’il avait lancée. Trémi : Mais c’est pas la bonne flèche, je me suis trompé ! Saori, heureuse : Youpi ! ! ! Je suis hors de danger ! ! ! Trémi : C’est la flèche qui fait tomber tous les cheveux au bout d’une demi-journée ! Saori, affolée : Oh non arrête, tu plaisantes j’espère ? ! Trémi : Hélas, non... Saori : Vilain ! Pour me venger, je vais faire du cheval sur toi jusqu’à ce que tu succombes à tes blessures ! Trémi commence à pleurer de désespoir ; il avait fait semblant d’agoniser pour qu’on le laisse tranquille. Maintenant, de longues heures de torture l’attendent. D’autant plus que Saori a pris sa cravache ! Saori : Allez, en selle ! Trémi : Pitié ! ! ! Une demi-heure plus tard, les chevaliers de Bronze sont arrivés, en marchant, devant la demeure de Mu. Narrateur : Mais où il est, Mu ? Mu ! ! ! Mu : Ca commence mal ! Voilà que je me fais engueuler par le narrateur ! Kiki : Vite, maître ! Mu : Mais où est ma peinture rouge ? Et mon ketchup ? Et mon rouge à lèvres ? Mais où est-ce que j’ai téléporté tout ça la dernière fois ? Kiki : Collez-vous ces deux confettis sur le front, ça suffira ! Mu le fait et arrive enfin devant le seuil de sa maison. Mu : Où vous allez comme ça, les petits ? Seyar : Voir le Grand Poulpe ! Shiryu : Il faut qu’il sauve Saori ! Hyoga : Enfin... Athéna. Car c’est elle ! C’est ça, non ? Shun : Vous n’avez pas vu mon frère ? Mu : Regardez-moi ces armures ! On voit que vous n’en prenez pas soin ! Confiez-les moi pour que je les répare ! Shiryu : Mais non ! Regarde mon bouclier, symbole de la solidité même... Mu souffle dessus et... CRAAAAAC ! ! ! Shiryu, en pleurs : Mon beau petit bouclier ! ! ! Après avoir retiré leurs armures, les chevaliers de Bronze se dirigent vers les toilettes de la maison du Bélier. Par une petite fenêtre, ils aperçoivent la grande horloge. Shun : C’est de cela que voulait parler Ikki... Euh non, Trémi ! Hyoga : Alors, Shiryu, t’as pas encore fini ? ! Seyar : J’ai une envie pressante moi aussi ! Shiryu : Je cherche la sortie mais je ne la trouve pas ! Seyar tente d’ouvrir la porte mais elle est fermée de l’intérieur. Shiryu : Attendez, je prends du papier de toilette, ça me servira de fil d’Ariane pour ne pas me perdre ! Et dix minutes plus tard, Shiryu trouve enfin la sortie. Il ressort enroulé dans du papier de toilette ! Après avoir fait leurs besoins, ils décident d’aller voir où en est Mu. Et là ils le découvrent en train de dormir ! Ils le secouent et Mu se réveille. Mais en le secouant, ils ont détaché un des deux points que Mu avait sur le front. Hyoga : C’est un faux Mu ! Shun : Oui, celui-là n’a qu’un point sur le front ! Seyar ramasse le point qui était tombé. Seyar : Mais... C’est un confetti ! Shiryu : Mu ! Tu vas nous dire où est Mu ! Mu : Mais je suis Mu ! La preuve : j’ai réparé vos armures avec ma colle forte et mon papier collant ! Seyar : Alors, c’est quoi ce confetti ? ! Mu : Vous êtes arrivé en avance tout à l’heure, alors j’ai pas eu le temps de me mettre deux points de rouge à lèvres sur le front ! Hyoga : Du rouge à lèvres ? ! Mu : Oui... Mes deux points se sont effacés quand j’ai pris mon bain annuel... Mais pourquoi vous ne venez que maintenant ? Je vous ai appelé il y a une demi-heure car j’avais fini les réparations ! Shiryu : J’ai rien entendu... Mu : Qu’est ce que j’y peux, si vous êtes bouchés. En attendant, j’ai piqué un petit somme. Shun : On n’est pas BOUCHERS, on est CHEVALIERS ! La flamme du Bélier vient de s’éteindre. Seyar : Allez, en route les gars ! On doit rattraper le temps perdu ! Mu : Attendez, il faut que je vous parle du septième sens... Hyoga : On s’en fout ! Tu nous as fait perdre assez de temps ! Et les voilà parti vers la deuxième maison, en marchant. Et après une éternité, ils arrivent enfin devant la maison du Taureau. Aldébaran les accueille à leur arrivée. Aldébaran : Salut, je m’appelle Aldébaran... Hyoga : On sait, le narrateur vient de le dire ! Aldébaran : Rendez-vous, ou je vais devoir être vache ! Shun : Je croyais que c’était le chevalier du Taureau ici, et pas celui de la Vache ! Seyar : Dis donc, j’ai déjà rencontré des adversaires plus grands et plus terribles que toi. Alors, prépare-toi à perdre ! Aldébaran : Non, c’est moi le plus grand ! Seyar : Sûrement pas ! Cassios et Docrate étaient plus grands que toi ! Aldébaran : Mais eux ils sont morts, et pas moi. Alors c’est moi le plus grand, na ! Tout à coup, un géant entre dans la pièce. Cassios : Je ne suis pas encore mort ! Aldébaran : Hors d’ici ou sinon je te tire les oreilles ! Cassios : J’ai pas peur ! Aldébaran : Dis, tu ne chercherais pas ton oreille manquante par hasard ? Casios : Si. Tu l’as vue ? Aldébaran : Oui, elle est au pôle sud ! Cassios : J’y cours ! Oreille, ne bouge pas, papa arrive ! ! ! Il sort mais un autre géant se montre. Géant : Je suis plus grand que toi, moi ! Je m’appelle Toll et je suis Guerrier Divin ! Aldébaran : Toi, retourne sur ta banquise avant que je ne me fâche ! Toll lève sa hache pour frapper quand il remarque une affiche dans la maison du Taureau : ‘pull en laine de mouton taille XXXXXXXXXXL en solde dans la maison du Bélier’. Toll : Vite ! ! ! Et il s’en va à la vitesse de la lumière. Aldébaran : Vous avez vu ça ? ! Il s’est enfui, il a eu peur de moi ! Je suis une vraie terreur ! Alors, qui veut se mesurer à moi ? Seyar : T’es trop grand, on n’a pas besoin de mesurer. Mais en combat, je suis le meilleur ! En garde ! Les autres Bronzes : Et nous ? On en a marre que tu sois toujours le personnage principal ! Seyar : Reposez-vous. Je vous réveillerai quand j’en aurai fini avec ce nain ! Aldébaran : Moi, un nain ? ! Comment oses-tu me comparer au chevalier de la Balance ! ? Shiryu : Et toi, tu oses insulter mon maître ! ? Aldébaran : Ton MAITRE, il ne fait même pas un METRE de haut ! Shiryu : Quel manque de respect ! Où es-tu, que je te corrige tout de suite ! En marchant, Shiryu se prend une colonne du temple et tombe assommé. Hyoga : N’oublie pas de nous réveiller quand tu auras gagné ! Seyar : Comptez sur moi ! Shun : Mais on parlait à Aldébaran ! Seyar : C’est sympa de m’encourager ! Aldébaran : Alors, tu te décides à attaquer ou pas ? Seyar : Tu l’auras voulu, toi. Par le Bisou de Pégase ! Aldébaran : Arrête, ça chatouille ! Seyar : Mais il se moque de moi ! Par le Bisou de Pégase ! Aldébaran : Je vais te montrer une VRAIE attaque... Par la Corne du Taureau ! BAAAAAM ! ! ! Seyar vole à travers plusieurs murs et s’écrase par terre. Seyar : Ouh que j’ai mâââââl... Aldébaran : Encore vivant ? Tant pis pour toi ! Cette dalle sera ta tombe ! Aldébaran lève son pied... Seyar, paniqué : Au secours ! ! ! CRAAAAAC ! Le chevalier du Taureau enterre Seyar dans le sol. Seyar : Suis-je mort ? Athéna ! Saori : Attends un peu, je termine de faire du cheval sur Trémi ! Marine : Debout Seyar ! Souviens-toi du Sabre du Samouraï ! La Corne du Taureau, c’est pareil ! Seyar : Mais oui ! Une fois que le sabre est sorti de son fourreau, il est mort ! Le chevalier Pégase ressort du sol devant un Aldébaran surpris. Seyar : Marine m’a appris comment te vaincre ! Aldébaran : Tu crois ça ? ! Essaie donc ! Seyar : Dès que la Corne du Taureau sort de son fourreau, elle est morte ! Aldébaran : On va voir... Par la Corne du Taureau ! Seyar observe chacun des mouvements d’Aldébaran. Seyar : Dès que sa corne sort de son fourreau, je le tiens ! Seyar continue à observer et... PAAAAAF ! ! ! Il repasse par plusieurs murs. Seyar, assommé : J’ai pas vu sa corne sortir de son fourreau ! Aldébaran : Imbécile ! J’ai pas de fourreau ! Seyar : Mais c’est de la triche ! ! ! Pas de fourreau donc pas de point faible ! Je suis foutu ! Marine : Oh, mais quel nul ce Seyar ! Aldébaran : Marine ? ! Que fais-tu là ? Marine : Je vais faire une démonstration pour cet idiot ! Aldébaran : Ah oui ? ! Par la Corne du Taureau ! Soudain, Marine disparaît. Aldébaran : Mais... Mais où est-elle ? Seyar : Derrière toi ! CLAC ! D’un coup, elle tranche une corne du casque du Taureau. Aldébaran, affolé : Maman ! ! ! Marine : T’as compris, Seyar ? Seyar : Pas tout à fait. Il est où son fourreau ? Marine, énervée : Crétin ! ! ! Elle disparaît. Seyar : Marine, reviens ! Sinon je suis mort ! Marine : Zut ! Seyar, suppliant : Marine ! Donne au moins un fourreau à Aldébaran pour qu’il ait une chance de perdre ! Marine : D’accord. Elle donne un fourreau au chevalier du Taureau. Aldébaran : Mais c’est débile ! Marine : Toi porte ce fourreau ou bien je te coupe l’autre corne ! Aldébaran obéit. Seyar a retrouvé le sourire. Seyar : Maintenant, tu es à ma merci ! Aldébaran : Par la Corne du Taureau ! Seyar : Ca y est, sa corne est sortie de son fourreau, je vais gagner ! Par le Bisou de Pégase ! ! ! Soudain, Aldébaran va s’écraser contre une colonne et son casque se brise en deux ! Il est vaincu ! Seyar : Ouah, quelle puissance que j’ai ! Je vais pouvoir battre tous les autres chevaliers d’Or facilement ! Soudain, un homme avec une armure blanche s’approche. Seyar : D’où tu sors, toi ? Bud : Je suis Bud, le jumeau du guerrier Divin Syd. Et j’étais venu l’aider à battre Aldébaran. Quand j’ai vu Toll, j’ai cru que j’étais en retard, alors je suis intervenu. Seyar : Andouille, tu t’es trompé d’acte ! Lis le script ! Bud : Ah oui tiens... Bon, je m’éclipse en vitesse. Après son départ, Seyar soupire. Seyar : Comme si j’avais besoin d’aide pour battre un petit chevalier d’Or ! J’allais l’achever quand ce zouave est intervenu ! Il va réveiller les autres. Seyar : Debout ! On a encore dix autres maisons à traverser ! Shiryu : T’as battu Aldébaran ? ! Seyar, fier : Evidemment que j’ai gagné ! Bon, je vais m’occuper du prochain pendant que vous vous réveillez. |